...et leurs armées masquaient l'horizon...
C'est encore une histoire qui s'est écrite en lettre de sang. En des temps immémoriaux, de grands Rois se dressèrent les uns contre les autres, mettant à feu à a sang les terres de carthage, d'Egypte,d'Inde allant même jusqu'à la chine lointaine.
L'une des plus grande batailles eut lieu que seul quelques érudit connaissent .
Voici d'ailleurs les gravures des grands Rois. En noir le barbares cruels, roi d'egypte, Morei et son despote d'allié, Pépé qui commande les armées chinoises.
De l'autre les vaillants combattants, Chien Sauvage en chemise grise et son allié le roi Uruk de carthage en blanc
Le vacarme était assourdissant, les armées prenaient position dans une grande plaine coupé par une rivière a proximité d'un village et bordé par une foret.
Vue du coté Ouest de la table, le village est tenue par les carthaginois et sur tout le flanc droit s'étend, la redoutable armée indienne et ses éléphants. Les égyptiens déploient les chars de part et d'autres de l armée chinoise et dresse un corps entier au delà de la rivières, que le courant rend difficile à traverser.
Alors que les tambours de guerres se mettent à battre, c'est l'armée indienne qui va manoeuvre en premier, la stratégie de base va être au départ de conserver la ligne de bataille en la faisant tourner sur l'axe que représente le village.
Du coté des barbares, on veut créer la brèche au centre avec des grosses unités puissantes et lourdes et courir avec le corps égyptiens sur le bord de la rivière, pour traverser après le village et commettre un odieux pillage des camps.
Vue depuis l'est du champs de bataille, la ligne carthagino-indienne avance suivant le plan bien établi par les stratège, au coeur du dispositif adverse les chinois au centre vont chercher la rupture.
Les Indiens commencent a incliner la ligne de bataille, l'avancent des éléphants perturbent, aussi bien les cavaleries chinoises, qu égyptienne qui refusent le combat se sachant surclassé dans un affrontement direct.
Au centre les flèches pleuvent mais les unités sont habitués a se protéger et le front s'installe dans une guerre d'usure. Les archer indien répondant flèches après flèches au déluge de traits chinois.
Carthage avancent aussi ses éléphants et va accepter le défis physique des unités lourdes chinoise en envoyant ses propres unités lourdes.
De l'autre coté de la rivière les égyptiens progressent vite et arrive dans des broussaille ou carthage a placé une embuscade.
La cavalerie chinoise charge avec fureur les fiers lanciers indiens qui dressent alors un rideaux de bouclier et de lances. C'est presque une carnage, la cavalerie se fait repousser avec vigueur.
Les Carthaginois vont au contact des puissantes infanteries lourdes chinoises, qui donnait l impression qu une armée de pierre s avançait dans la plaine.
Pépé avait toujours pour but de percer et couper en deux notre dispositif défensif.
Mais Uruk avant la bataille avait sacrifié comme à son habitude un boeuf aux dieux de la guerre et ses troupes ont pulvérisé les chinois qui ont passé du stade de statue de pierre, à poudre.
Les éléphants indiens repoussent tout après tour les chars égyptiens malgré les tirs de harcellements.
De l'autre coté, dans la broussaille, l'embuscade se déclenche, deux unité de psiloï ont la lourde tache de ralentir le corps égyptien qui s'avance.
Là le Roi indien a un gros doute sur la capacité des embusqués à remplir leur tache, et l'exprime ouvertement a son homologue carthaginois, qui lui exprime son profond respect et lui enseigne qu'il a en fait sacrifier trois boeufs au lieu de un, du coup forcément les dieux sont avec nous.
Les éléphants carthaginois chassent a leur tour la cavalerie chinoise, le centre carthagino-indien tient et reste en une ligne qui pivote. Le problème va vraiment commencer quand les égyptiens vont traverser la rivière pour attaquer notre flanc gauche et détruire notre camps.
Les chinois encaissent des grosses pertes, et le centre du champs de batailles est quasi perdu, les égyptiens traversent doucement le fleuve... trop doucement. Face aux éléphant indiens, les égyptiens tentent une dernière manoeuvre d'esquive qui doit les permettent de fuir mais c'est sans compter sur deux unités de lanciers archers qui vont les contraindre "par une subtile manoeuvre" à accepter le combat.
Du coté de la broussaille, les boeufs sanctifiés apportent le supplément de magie qui font tenir les deux psiloi et arrête la progression du corps égyptien suffisement longtemps pour qu'il ne puisse rien faire.
On arrive au dernier instant de la bataille, sur le flanc droit des Sino-egyptiens, les égyptiens traversent mais trop tard la rivière, le centre chinois et quasi exterminé seul quelques unités de cavalerie se couvre de gloire en terrassant un éléphant carthaginois, et a gauche la charerie égyptienne se fait écraser par la charge des éléphants.
La victoire est du coté de l'alliance de carthage et des indiens. On raconte d'ailleurs qu'en mémoire de cette bataille antique, depuis en inde on honore les vaches sacrées en souvenir des rites carthaginois avant la bataille.
Victoire Carthagino-indiene par 46 à 26, pour cette bataille en 2h30 avec 100pts de troupes par joueurs sur une table 1.80m par 1.20m.
Jouer a deux contre deux c'est plus distrayant qu'à un contre un et cela va paradoxalement aussi vite, malgré plus de troupes sur la table.
Merci a uruk pour ses décors qui a véritablement transformer nos tables pitoyables habituelles en quelques choses de plus agréable a regarder.
J ai été un peu long mais j espère avoir fait passé mon plaisir a jouer cette partie ^^.
Chien sauvage.
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